Collectif culture du PCF

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Pierre Dharréville. « Un printemps pour la République »

le 02 April 2016

Pierre Dharréville. « Un printemps pour la République »

Voici sorti le nouveau livre de Pierre Dharréville. Ce livre touche à une question brûlante en ces temps mouvementés : la République.

Ce qu’en dit l’éditeur :

« La République ?  Invoquée pour conjurer les attentats djihadistes, convoquée pour  justifier le basculement dans une régression sécuritaire, embaumée pour maser la nature monarchique de sa constitution, statufiée pour dissiper sa confiscation par une caste oligarchique,  la République est épuisée d’être ainsi manipulée. Pour renaître, il lui faut un printemps, une sève démocratique qui  fasse éclore la promesse d’égalité, de liberté et fraternité qu’elle porte. Mais comment faire quand de scrutins en scrutins, la confiance des citoyens dans les institutions et les partis de la République s’érode, quand les promesses d’égalité ne sont pas tenues et la fraternité reste un vœu pieux ? Comment sortir par le haut d’une crise politique où  l’issue proposée est autoritaire ou technocratique ?

Dans cet essai incisif, Pierre Dharréville invite la République à se renouveler en retrouvant ses fondements oubliés, la Grèce, la Révolution française, et en ouvrant ses horizons au grand large d’une démocratisation des institutions politiques et des pouvoirs économiques qui reste à faire. L’issue à cette crise ne réside pas dans la promotion d’une solution qui ferait du recours au peuple un slogan électoral mais dans une nouvelle manière de "faire" la démocratie en inventant des formes originales de participation des citoyens tant au plan social qu’économique et politique. »

« Un printemps pour la République », Pierre Dharréville, Les éditions de l'Atelier - Les éditions des fédérés. Sortie le 24 mars.

 

 

3e arr. de Marseille. Projection du film « 1.336 jours »

le 02 April 2016

Salim Hatubou. Message de Jean-Marc Coppola

le 31 March 2016

Salim Hatubou. Message de Jean-Marc Coppola

« Il y a un an notre ami, le poète Salim Hatubou nous quittait,
mais il est toujours présent dans mon esprit »

Grand frère des jeunes des quartiers nord, Salim nous a manqués ce 21 février 2016 lors de l’hommage que nous rendions à Ibrahim Ali, assassiné, victime du racisme de militants FN.

Poète, conteur, écrivain primé, acteur, ses textes nous font rêver, voyager, comme un trait d’union entre les Comores et Marseille.

Prolixe et varié dans ses styles comme dans sa vie, il était un homme sérieux, un sourire toujours accroché aux lèvres, un travailleur infatigable et inspiré, et militant pour la seule cause qui guidait ses pas : la vie.

En cette date anniversaire je me joins à sa femme, à ses trois enfants, à ses amis et à l’ensemble de la communauté comorienne pour un recueillement qu’il aurait certainement aimé joyeux.

Jean-Marc Coppola
Conseiller municipal communiste de Marseille

7e arr. de Marseille. Claude Beyer présentera ses futurs cours de peinture/dessin

le 30 March 2016

Septèmes-les-Vallons. « Perdus entre deux rives, les chibanis oubliés »

le 29 March 2016

Aix-en-Provence. "J'ai tué Maurice Thorez" comédie trragique de Gilles Ascaride

le 28 March 2016

Gardanne. La guerre d’Espagne, celle de Mika

le 28 March 2016

Gardanne. La guerre d’Espagne, celle de Mika

Conférence. La bibliothèque Nelson-Mandela rend hommage à Mika Etchebéhère, la combattante et l’auteur. Son livre « Ma guerre d’Espagne à moi » est un témoignage puissant de la lutte contre le fascisme.

De la guerre d’Espagne, nous n’avons souvent qu’une image lointaine, les écrits d’Ernest Hemingway, Guernica de Picasso ou, pour les plus anciens d’entre nous, le souvenir du magnifique film de Frédéric Rossif Mourir à Madrid, longtemps interdit sur la chaîne de télévision française.

Le livre -et la femme qui feront l’objet d’une conférence mardi- n’est pas l’œuvre d’une observatrice, mais celle d’un acteur de la lutte contre l’offensive franquiste pour mettre un terme à la République espagnole. Mika Etchbéhère y raconte sa guerre d’Espagne aux côtés du Poum (Parti d’obédience trotskyste). Celle d’une militante, d’une femme aussi, témoin à Berlin de la montée du nazisme, aux côtés de son mari, qui a compris qu’un autre combat décisif se jouait aussi dans ce pays du Sud de l’Europe. Le combat et les espoirs d’une jeune république progressiste et prometteuse de justice sociale contre l’obscurantisme clérical et militaire du Général Franco.

C’est ce combat-là, ses grands moments de résistance, mais aussi des instants d’humanité profonde, ceux d’une « commandante », son grade dans les forces républicaines, respectée des hommes qu’elle dirigeait, qu’elle a couché sur le papier.

Une mémoire qui nous fait parfois défaut

La bibliothèque Nelson-Mandela de Gardanne et l’association Promemo (Promotion de la mémoire ouvrière), qui sont à l’initiative de cette soirée, auront pour invités Isabelle Renaudet, professeur d’histoire à l’Université de Provence, spécialiste de l’histoire de l’Espagne, et Charles Jacquier qui présentera cet ouvrage émouvant. A leurs côtés, pour animer le débat, Gérard Leidet, responsable de Promemo, cette association dont la vocation est de faire de la mémoire ouvrière un outil des combats d’aujourd’hui. Il n’est pas si loin le temps où, sur le versant Sud des Pyrénées, la jeunesse d'Espagne avait encore affaire aux interdits et à la répression féroce de la dictature franquiste.

Gérard Lanux (La Marseillaise, le 28 mars 2016)

« Ma guerre à moi », de Mika Etchebéhère, aux éditions Actes Sud.

Septèmes-les-Vallons. « Gumri, Arménie si loin du ciel »

le 26 March 2016

14e arr. de Marseille. Antiracisme d'hier et d'aujourd'hui

le 25 March 2016

Avant-première de « This is my land »

le 25 March 2016

Cinéma L’Alhambra
2, rue du Cinéma
13016 - Marseille

Mardi 29 mars à 20h

Projection de « This is my land » en présence de la réalisatrice Tamara Erde, en partenariat avec Amnesty International.

Et si le conflit israélo-palestinien était surtout une question d’éducation ? « This is My Land » observe la manière dont on enseigne l’histoire dans les écoles (publiques ou religieuses) d’Israël et de Palestine. Portraits d’enseignants, enthousiastes ou révoltés, rencontres avec des enfants désenchantés : le film révèle les murs que l’on dresse dans la tête des jeunes générations…

Restauration sur place possible à partir de 19h : merci de réserver votre repas : cinema.alhambra13@orange.fr (http://www.alhambracine.com).