Collectif culture du PCF

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Turquie : La libération d'A.Öcalan est une des conditions indispensables au règlement politique et non violent de la "question kurde"

le 07 septembre 2016

Turquie : La libération d'A.Öcalan est une des conditions indispensables au règlement politique et non violent de la

Le dirigeant kurde Abdullah Öcalan est emprisonné depuis près de 18 ans sur l’île d’Imrali. Au mépris de toutes les conventions internationales et européennes, le gouvernement turc le maintient à l’isolement.

À intervalles réguliers, il est privé des visites de sa famille et de ses avocats. Ce traitement inhumain n’entame pourtant pas sa détermination à œuvrer pour trouver le chemin d’une paix durable. Öcalan a été le principal artisan du processus de négociations que Recep Tayyip Erdogan a rompu brutalement.

Depuis plusieurs mois, la communauté internationale ne reçoit aucune information sur son état de santé et sa sécurité. Lors de la tentative de putsch du 15 juillet dernier, qui a heureusement échoué, les putschistes ont tenté de s’emparer de lui. Sa vie est en danger.

La France et l’Union européenne doivent intervenir pour exiger de la Turquie le respect de ses engagements en permettant une visite immédiate des membres de sa famille, de ses avocats et de représentants élus.

Le PCF considère que la libération d’Abdullah Öcalan qui appelle à la paix et au rassemblement et la reconnaissance de droits politiques et culturels de tous les peuples de Turquie est une des conditions indispensables à un règlement politique, non violent et démocratique de la « question kurde » en Turquie.

Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, exprime toute sa solidarité au peuple kurde et à sa lutte émancipatrice pour la paix, l'égalité et la démocratie en Turquie.

La halle alimentaire solidaire dans le 14ème, une belle avancée

le 17 août 2016

La halle alimentaire solidaire dans le 14ème, une belle avancée

La halle alimentaire solidaire dans le 14ème une belle avancée

Les élus communistes, Front de Gauche, tant au conseil de Paris, que Catherine Chevalier élue communiste du 14ème, ont fait en sorte de porter cet innovant projet, et de l’ancrer dans le champ de l’économie sociale et solidaire.

Le projet de halle alimentaire solidaire, que nous défendons, est un projet de campagne des municipales 2014, et soutenu par Anne Hidalgo, maire de Paris. C’est surtout une politique ambitieuse en matière d’alimentation. Son impact sur la santé n’étant plus à prouver, plusieurs études de santé publique ont ainsi démontré l’impact des inégalités sociales face à l’alimentation.

Pour produire sa propre alimentation, l’homme a besoin de terre, de semences, et d’eau, mais pour l’acheter il a besoin de revenus adéquats, et donc que l’état fasse en sorte que les politiques salariales et les filets de sécurité sociale permettent aux citoyens une alimentation saine, de préférence biologique. En tenant compte de la crise que traverse actuellement le monde agricole, nous voulons retisser des liens entre les territoires urbains et les territoires ruraux, l’approvisionnement en circuit court permet une rémunération juste du producteur, de réduire les marges pour proposer des produits frais à moindre coûts.

Dans notre arrondissement une halle alimentaire solidaire

- ouverte à tous,

- approvisionnée en circuits courts,

- proposant des prix abordables,

- proposant une vraie réflexion sur l’alimentation, au travers d’atelier cuisine,

- etc.,

devrait voir le jour prochainement, un lieu a déjà été choisi, proche du boulevard Brune, dans la ZAC Didot, en pied d’immeuble de la nouvelle résidence étudiante. Suivant pour ce choix de l’implantation, l’étude de L’IGVP, qui préconise d’être au plus près des quartiers populaires de la ville.

Triste et en colère, nous poursuivrons la bataille pour la libération de Jacqueline Sauvage (Laurence Cohen)

le 12 août 2016

Triste et en colère, nous poursuivrons la bataille pour la libération de Jacqueline Sauvage (Laurence Cohen)

Nous déplorons avec force le rejet de la libération conditionnelle de Jacqueline Sauvage. C'est une très mauvaise nouvelle pour toutes celles et tous ceux qui luttent contre les violences faites aux femmes, pour les victimes quotidiennes.

 

Après le calvaire que Jacqueline Sauvage avait enduré avec ses enfants, les coups et les viols, sa condamnation était apparue comme particulièrement injuste.

J'étais intervenue, au Sénat, en sa faveur en tant que parlementaire et au nom du combat que mènent les communistes contre les violences que subissent encore trop de femmes.

Sa libération était très attendue et ce sont aujourd'hui la tristesse et la colère qui nous gagnent.

Avec les associations féministes, les syndicats et les progressistes, nous allons poursuivre la bataille en faveur de la libération de Jacqueline Sauvage et plus globalement contre ce fléau qui gangrène la société.

Air France : Le ministère du travail s'acharne contre le monde du travail (Isabelle De Almeida - PCF)

le 09 août 2016

Air France : Le ministère du travail s'acharne contre le monde du travail (Isabelle De Almeida - PCF)

La ministre du travail a validé le licenciement de Vincent Martinez, délégué CGT d'Air France accusé d'avoir participé à l'épisode de la "chemise arrachée", a annoncé hier son ministère dans un communiqué, alors même que l'inspection du Travail avait pris une décision inverse en janvier.

 

Le PCF apporte toute sa solidarité aux salariés d'Air France comme à tous les salarié-es victimes de criminalisation et exprime son soutien à Vincent Martinez .

Il s'agit bien d'une décision à caractère politique, bafouant d'une part l'avis très argumenté de l'Inspection du travail, et d'autre part, piétinant le Code du travail, le délai pour recours étant épuisé.

A nouveau, avec cette décision prise en plein été, s'exprime une volonté politique de ce gouvernement de faire taire toute contestation sociale dans le pays et d'affaiblir le mouvement syndical avec une criminalisation des hommes et des femmes qui s'engagent et luttent pour défendre des conquêtes sociales et améliorer les conditions de travail et de vies des travailleur-euses.

Le gouvernement a d'abord, en début de quinquennat, refusé l'amnistie sociale pour les militants. Puis il a mené une campagne de stigmatisation contre les responsables syndicaux et une répression sans précédent du mouvement social comme nous l'avons vécu durant ces derniers mois avec les manifestations contre la loi dite « travail ». Comment alors croire les paroles de François Hollande  prononcées samedi dernier «  Il faut changer la démocratie, pas la restreindre » ?

 

Effectivement il faut donner un nouveau souffle à la démocratie dans notre pays.

Il faut pour cela écouter et respecter les citoyens et le débat parlementaire en renonçant à l'utilisation du 49-3.

Cela passe par la démocratie sociale, avec des nouveaux droits et pouvoirs pour les salarié-es et leurs représentant-es.

Cela passe également par le retrait de la loi « travail » pourtant promulguée aujourd'hui.

 

Le PCF participera, à l'appel de plusieurs syndicats et organisations de jeunesse, à la journée de mobilisation du 15 septembre.

Dès maintenant le PCF invite les salarié-es, les citoyens en lutte contre cette loi régressive à participer à la Fête de L'Humanité les 9, 10 et 11 septembre, pour échanger afin de construire une alternative de gauche à cette loi.

Etat d'urgence : « Nos groupes parlementaires ne voteront pas la prolongation » (Pierre Laurent)

le 19 juillet 2016

Etat d'urgence : « Nos groupes parlementaires ne voteront pas la prolongation » (Pierre Laurent)

 

Cinq jours après la terrible tuerie de Nice, qui a vu les vies de 84 femmes, hommes et enfants fauchées et des centaines d'autres blessées ou marquées pour toujours, notre nation reste endeuillée et profondément choquée. Cette folie terroriste aveugle a plongé le pays dans un angoissant questionnement sur les motivations du meurtrier Mohamed Lahouij-Bouhlel et sur les moyens de faire face à la terreur que cherchent à imposer de tels actes.

Au chagrin s'est mêlée depuis la colère devant les polémiques et les surenchères indécentes auxquelles se sont livrés sans recul nombre de responsables politiques.

Dès le 15 juillet, le Parti communiste français a refusé ce manque de dignité en appelant à la solidarité et au respect des familles endeuillées, en demandant le temps nécessaire à l'enquête et à la réflexion pour évaluer les nouvelles mesures à prendre face au palier franchi dans l'horreur. D'autres, singulièrement à droite et à l'extrême droite, ont préféré faire assaut de déclarations irresponsables et de surenchères sans fondement. Oui, nous le redisons avec force, contre la marée nauséabonde de tous les démagogues, il va falloir raisonner, penser pour pouvoir agir mieux et plus efficacement contre la menace terroriste grandissante, contre la violence criminelle qui se pare d'alibis ou de mobiles religieux ou politiques, et contre les haines et les divisions.

Le gouvernement a décidé, sans débat, de prolonger l'état d'urgence, sous la pression de la droite et de l'extrême droite qui veulent durcir encore le régime d'exception.

Or, force est de constater que l'état d'urgence n'a pas permis d'éviter le carnage de Nice, dans une ville que les élus de droite ont faite laboratoire de leurs expérimentations sécuritaires.

Avant d'annoncer précipitamment sa prolongation, le président de la République venait de la déclarer inutile en indiquant que les lois récemment votées après son déclenchement permettaient de prendre le relais. Le risque s’accroît donc d'une dérive répressive sans efficacité pour la sécurité de nos concitoyen-ne-s, et d'une atteinte à nos libertés publiques fondamentales.

Nos groupes parlementaires ne voteront donc pas cette prolongation.

Nous appelons en revanche à une réorientation profonde de nos politiques nationales, européennes et internationales. La lutte contre l'action terroriste et l'insécurité du monde est inséparable de la reconstruction d'une nouvelle civilisation commune à toute l'humanité.

Riposter à la violence terroriste et au projet politique meurtrier et dictatorial de Daesh, par la seule voie militaire, par l'engagement de notre pays dans une logique de guerre aveugle, sans stratégie politique visant le retour de la paix et de la sécurité internationale est une grave erreur. Elle alimente la propagande de Daesh sur les esprits qu'il domine.

Tous les promoteurs et artisans de la logique de « guerre des civilisations », depuis Daesh jusqu'à ceux qui prétendent la combattre sur le même terrain, entraînent notre pays et l'humanité dans une voie sans issue.

Les communistes appellent à résister à cette logique meurtrière, à faire reculer ensemble les violences, les haines et les politiques de la peur.

Nous avons, ensemble, la capacité de rejeter le terrorisme et tout ce qui le nourrit, ici en France et ailleurs dans le monde où les guerres et le chaos qu'elles entraînent lui servent de terreau pour son développement.

La France doit enfin accepter de réviser en profondeur ses choix internationaux pour des évolutions de paix au Proche-Orient et en Afrique. Les peuples du Proche-Orient et d'Afrique y aspirent profondément ; ce sont eux et les forces démocratiques et pacifiques que la France doit soutenir avec ardeur.

Ici en France, il est temps de déclarer l'état d'urgence sociale afin de stopper les politiques d'austérité (baisse des dotations aux collectivités locales, suppression de services et de personnel) et de déployer des moyens sans précédent de présence de l’État et des services publics dans tous les territoires de la République.

Sécurité de proximité, éducation, santé publique, accompagnement psychiatrique, prévention, aide psychologique, lutte contre les violences faites aux femmes, contre les trafics mafieux… sont des priorités d'une urgence absolue

C'est seulement dans ce cadre nouveau que les efforts immenses faits par les services de sécurité, de police et de gendarmerie, dont il faut saluer le dévouement, trouveront leur pleine efficacité.

Au-delà, c'est un autre avenir de développement et de solidarité, un avenir d'humanité commune, qu'il faut mettre à l'ordre du jour, en France, en Europe et dans le monde. Nous ne voulons plus de ce monde de l'argent, des concurrences et des guerres, qui nourrit tous les égoïsmes et les racismes.

Contre le déferlement de haine et de démagogie qui ouvrent aujourd'hui la voie aux populismes en tous genres et aux extrêmes droites violentes et xénophobes, les communistes œuvreront sans relâche pour que notre peuple, et toutes celles et ceux qui ont choisi la France pour y vivre, puissent débattre sereinement et démocratiquement de ces enjeux majeurs.

2017 sera pour cela une année cruciale durant laquelle nous ne laisserons pas le débat politique se rouler dans la fange.

Notre pays mérite mieux, afin de construire un dialogue avec les forces démocratiques du monde pour une humanité de paix, d'égalité et de partage.

Que demande le peuple? Rendez-vous avec les communistes du quartier ce samedi 2 juillet à 10h00 rue du Moulin de la Vierge à l'entrée de la cité

le 02 juillet 2016

Que demande le peuple? Rendez-vous avec les communistes du quartier ce samedi 2 juillet à 10h00 rue du Moulin de la Vierge à l'entrée de la cité
Les communistes de votre quartier seront présents
 
samedi 2 juillet de 10h à 12h
 
rue du Moulin de la Vierge à l'entrée de la cité
 
pour récupérer les questionnaires Que demande le peuple? remplis (celui-ci ou celui qui vous a été remis lors de notre passage le samedi 25 juin) ou pour répondre à vos questions.
 
Pour toute information supplémentaire,
 
notre local du 14ème (situé au 32 rue Saint-Yves) est ouvert tous les vendredis soir à partir de 18h30.
 
notre site internet: http://paris14.pcf.fr
 
ou notre page FaceBook: http://www.facebook.com/pcfparis14

Indignation après la condamnation des lanceurs d'alerte Antoine Deltour et Raphaël Halet » (Olivier Dartigolles)

Par Olivier Dartigolles, le 30 juin 2016

 Indignation après la condamnation des lanceurs d'alerte Antoine Deltour et Raphaël Halet » (Olivier Dartigolles)

C’est avec indignation que nous avons appris aujourd’hui la condamnation du lanceur d’alerte français Antoine Deltour par la justice luxembourgeoise à 12 mois de prison avec sursis, et 1500€ d’amende.

 

Antoine Deltour avait permis par son action de lancer une réflexion d’envergure autour des pratiques de concurrences agressives et déloyales en matière fiscale de plusieurs entreprises européennes.

 

Raphaël Halet, autre lanceur d’alerte est condamné à 9 mois de prison avec sursis et 1000€ d’amende, tandis que le journaliste Edouard Perrin est acquitté.

 

Le PCF apporte tout son soutien à Antoine Deltour et Raphaël Halet, et réaffirme avec force son engagement pour une meilleure justice fiscale au sein de l’Union Européenne.

 

Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF

Double assassinat de Magnanville : Tenir bon contre la haine (Pierre Laurent)

le 14 juin 2016

Double assassinat de Magnanville : Tenir bon contre la haine (Pierre Laurent)

L'assassinat d'un couple de fonctionnaires de police, sous les yeux de leur enfant de trois ans, est un acte épouvantable qui a été commis par un individu connu des services policiers et judiciaires. Cet acte provoque l'effroi.

 

La solidarité de la nation doit d'abord aller à ce petit garçon qui a perdu ses deux parents dans des circonstances si horribles. La société doit l'entourer et lui montrer qu'elle est capable de le protéger contre la haine et la violence.

Le PCF apporte son soutien aux familles des disparus, leurs collègues et amis. Il salue l'engagement des personnels de police qui font, au quotidien, le choix de l'intérêt général en se mettant au service de la République.

Cet acte est revendiqué par l'organe de presse internet de Daech qui, en très grande difficulté sur le plan militaire en Syrie comme en Irak, cherche une nouvelle fois à provoquer la terreur et à semer la haine dans les coeurs, même entre voisins.

 

Contre la haine, la division et la violence, nous devons tenir bon.

Marwan Barghouti, citoyen d'honneur de Stains : Soutien à Azzedine Taibi (PCF)

le 10 juin 2016

Marwan Barghouti, citoyen d'honneur de Stains : Soutien à Azzedine Taibi (PCF)

En 2009, le conseil municipal de Stains (93) a élevé Marwan Barghouti au rang de citoyen d’honneur de la ville et installé au fronton de l’hôtel-de-ville une banderole pour demander sa libération.

Stains fait partie du réseau des villes et collectivités pour la libération de Marwan Barghouti comme vingt-deux autres municipalités dont les maires s’apprêtent d'ailleurs à lui rendre une visite de solidarité en ce mois de juin.

 

Soutenir Marwan Barghouti, c'est soutenir la paix.

Partisan d’une solution politique basée sur le respect du droit international avec la création d'un État palestinien aux côtés de l’État israélien, il est détenu illégalement dans les geôles israéliennes depuis 2002. Marwan Barghouti, député et président du groupe d’amitié Palestine-France au parlement palestinien n'est pas plus terroriste que ne l'était Nelson Mandela. D'ailleurs, une campagne internationale pour sa libération et celle de tous les prisonniers politiques palestiniens a été lancée depuis Robben Island et a recueilli de nombreux soutiens au-dessus de tout soupçon : huit prix Nobel, dont Jimmy Carter et Desmond Tutu, et de prestigieuses personnalités parmi lesquelles le regretté Stéphane Hessel, Michel Rocard, Jack Ralite, Christian Sautter, Guy Bedos, Rony Brauman, Gisèle Halimi, Eva Joly, ou encore Pierre Tartakowski, alors président de la Ligue des droits de l’Homme et Jean Ziegler, membre du Comité consultatif du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies.

Récemment, des parlementaires britanniques ont demandé au parlement israélien la libération de Marwan Barghouti ; cette demande a été reprise par l'Egypte. Le prix Nobel de la paix argentin, Adolfo Perez Esquivel, et des parlementaires belges ont proposé d’attribuer cette année le prix Nobel de la paix à Marwan Barghouti. Quant au quatuor tunisien récipiendaire du prix Nobel de la paix 2015, il lui a dédié il y a quelques mois son prix Nobel. Tous sont conscients du rôle positif que peut jouer Marwan Barghouti pour une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens.

 

Mais pour le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA), toutes les critiques de la politique menée par l’État d'Israël sont systématiquement définies comme de l'antisémitisme et il entend poursuivre tous ceux qui s'y opposent.

En 2015, le BNVCA décide de faire annuler le titre de citoyen d’honneur de Marwan Barghouti que lui avait donné la ville d'Aubervilliers. Aujourd'hui, c'est contre le maire communiste de Stains, Azzédine Taïbi, que le BNVCA porte plainte pour « apologie publique d’un acte terroriste ». Il s'agit d'une pure forfaiture et d'une insulte au maire et aux habitant-e-s de Stains.

 

Le Parti communiste français assure de toute sa solidarité et de tout son soutien au maire, Azzédine Taïbi, et aux habitant-e-s de Stains, et appelle tous les militant-e-s de la paix à se rendre au rassemblement le mardi 14 juin à 9h devant le tribunal administratif de Montreuil lors de sa comparution.

Ambroise Croizat (1901-1951) Saviez-vous ce qu'on lui doit?

le 30 mai 2016

Ambroise Croizat (1901-1951) Saviez-vous ce qu'on lui doit?
«Ne parlons pas d’acquis sociaux, mais de conquis sociaux, parce que le patronat ne désarme jamais» Ambroise Croizat (1901-1951)

Le saviez-vous?

La France a eu un jour un ministre du travail qui savait ce que travailler veut dire.
Dès l’âge de 13 ans il avait travaillé en usine.
Il s’appelait Ambroise Croizat.
Nous lui devons:
- la Sécurité Sociale
- la retraite par répartition
- les comités d’entreprise
- les conventions collectives
- la réglementation sur les heures supplémentaires
- la médecine du travail