Collectif culture du PCF

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2017 L'Humain d'abord!

le 16 décembre 2016

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La France en commun!

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Luxleaks : Le PCF demande l'annulation de la condamnation des lanceurs d'alerte (Olivier Dartigolles)

Par Olivier Dartigolles, le 12 décembre 2016

Luxleaks : Le PCF demande l'annulation de la condamnation des lanceurs d'alerte (Olivier Dartigolles)

A l’occasion du procès en appel des lanceurs d’alerte Antoine Deltour et Raphaël Halet et du journaliste Edouard Perrin dans l’affaire dite #luxleaks et qui s’ouvre aujourd’hui au Luxembourg, le PCF rappelle sa solidarité avec les citoyens qui s’élèvent contre l’injustice fiscale.

Antoine Deltour et Raphael Halet ont été condamnés en première instance à 12 et 9 mois de prison avec sursis, et respectivement 1500 et 1000€ d’amende, tandis qu’Edouard Perrin a été "acquitté". Leur action a pourtant permis d’élever au rang de débat la question des rescrits fiscaux, déloyale concurrence entre les pays européens, dont le nombre a dangereusement augmenté depuis 2014. 

Il y a urgence à obliger les multinationales à faire acte de reporting public, pays par pays, au sein et à l’extérieur de l’Union européenne. Allons vers une COP 21 sur la fiscalité permettant des objectifs ambitieux en terme de lutte contre la fraude et l'évasion fiscale. 

Le PCF demande par ailleurs l’annulation de cette condamnation inique et réaffirme sa solidarité avec les trois citoyens. 

 

Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF

Le PCF appelle une fois de plus à la libération des prisonniers politiques en Côte d’Ivoire

le 01 novembre 2016

Le PCF appelle une fois de plus à la libération des prisonniers politiques en Côte d’Ivoire

La Côte d’Ivoire est marquée par les stigmates d’un régime autocratique à la dérive. Des centaines de prisonniers politiques croupissent dans les geôles, des chefs de guerre soupçonnés des crimes les plus graves sont promus aux plus hautes fonctions de l’État, des dizaines de milliers de refugiés  ne peuvent revenir en Côte d'Ivoire par crainte de repression.  Une justice des vainqueurs s’est installée dans un climat de répression tous azimut contre les partis politiques d’opposition, les syndicats et des associations, avec une politique de régression sociale et une soumission totale aux intérêts des entreprises transnationales notamment françaises.

Pour tenter d’asseoir sa mainmise sur le pays, le régime d’Alassane Ouattara fait adopter dimanche 30 octobre un projet de constitution inique lors d’une parodie de référendum. Le texte prévoit la mise en place d’un vice-président que l’actuel président pourra choisir à sa guise, la création d’un Sénat dont 30 % des élus seront nommés par lui, et l’empêchement du syndicalisme dans les milieux étudiants, pour ne citer que ces éléments.

C’est précisément cette date que Manuel Valls choisit pour se déplacer à Abidjan et "afficher le soutien de la France aux processus démocratiques" en cours !

Ainsi, le pouvoir français reste non seulement sourd aux plaintes du peuple ivoirien mais adoube ceux qui l’oppriment sans vergogne ! Cette visite en Côte d’Ivoire du Premier Ministre ne peut qu’être vu comme une provocation et interroge sur les contreparties qu’il en attend.

 

Le Parti communiste français appelle une fois de plus à la libération des prisonniers politiques en Côte d’Ivoire, à un retour à un état de droit et au respect des droits de l’homme. Il apporte sa solidarité au peuple ivoirien et aux forces démocratiques et progressistes qui veulent contrecarrer les ambitions dictatoriales d’Alassane Ouattara et des cliques affairistes qui se partagent autour de lui les miettes que veulent bien leur laisser les multinationales.

La France au lieu de perpétuer une politique de faux-semblants des plus rétrogrades devrait au contraire favoriser les conditions permettant d’assurer à la Côte d’Ivoire un avenir de Paix, de droit et de progrès social, démocratique et économique. C'est la condition sine qua none pour que des milliers d'ivoiriens, réfugiés politiques ou économiques ne prennent plus la route de l'exil.

 

Police : Il faut écouter les policiers qui expriment colère et épuisement (Fabien Gauillaud-Bataille - PCF)

le 24 octobre 2016

Police : Il faut écouter les policiers qui expriment colère et épuisement (Fabien Gauillaud-Bataille - PCF)

Depuis plusieurs jours les policiers se rassemblent spontanément dans de nombreuses villes de France. Ils expriment une colère et un épuisement. Ils réagissent après l’agression violente et à la volonté meurtrière de Viry-Châtillon.

L’épuisement trouve ses sources dans le rythme terrible qui est imposé aux effectifs de Police depuis les attentats du 7 janvier à Charlie Hebdo et qui s’est vu renforcé depuis le 13 novembre et le 14 juillet. Congés reportés, mobilisation permanente, heures supplémentaires sont devenus le quotidien de la Police Nationale. Cette pression accrue est venue s’ajouter à des dysfonctionnements déjà existants, rendant la situation insupportable.

 

D'abord, il faut embaucher, renforcer le nombre et la présence quotidienne de la Police Nationale dans tous les territoires et en particulier auprès de ceux qui souffrent le plus de la crise et de la délinquance quotidienne. Les syndicats de policiers avancent des chiffres qu’il faut écouter et auxquels il faut répondre rapidement.

 

Ensuite, nous devons aussi nous interroger sur leurs missions, à commencer par la règle qui détermine leurs actions depuis le passage de Nicolas Sarkozy à l’intérieur : celle du chiffre.

La logique de rentabilité capitaliste qui s’applique depuis lors est en train de détruire, de dévoyer le rôle du service public de Police nationale. Elle vide de son sens le métier, brise les vocations et donne de l’importance à des actions qui sont rentables pour les statistiques mais peu pour la sécurité des citoyens de France.

C’est le cas des contrôles d’identité systématiques, des contrôles routiers inopinés ou encore des îlotages sans buts précis. Certes, ils permettent souvent de faire coup double pour les statistiques avec une infraction constatée et une verbalisation immédiate entrant dans la colonne faits résolus sans trop de temps, mais cela détourne de nombreux policiers de taches plus importantes ou de la proximité avec les habitant-es.

 

Il faut casser cette dynamique. C’est elle qui organise la pression, justifie les méthodes de management les plus dures sur les agents. Chaque année des dizaines de policiers mettent fin à leur jour avec leur arme de service ou sur leur lieu de travail.

Nous avons besoin d’une autre police. Le PCF souhaite que cette crise soit l’occasion de prendre le virage de la proximité, du sens du métier, du retour au service public auquel les citoyennes et citoyens de ce pays ont droit.

« Accusations extrêmement graves de collusion entre des personnalités politiques et le Qatar » (Olivier Dartigolles)

Par Olivier Dartigolles, le 20 octobre 2016

« Accusations extrêmement graves de collusion entre des personnalités politiques et le Qatar » (Olivier Dartigolles)

 

Dans un livre-enquête « Nos très chers émirs », Georges Malbrunot et Christian Chesnot lancent des accusations extrêmement graves de collusion politico-financières à l'encontre de Jean-Marie Le Guen, Secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, ainsi que de plusieurs personnalités politiques socialistes, des Républicains et du Centre. Contre rétributions financières, des accords et services politiques en tous genres se seraient noués afin de servir les intérêts du Qatar. Ces faits, s'ils étaient avérés, seraient gravissimes et relèveraient des tribunaux.

Face à la gravité des accusations, nous demandons que la justice soit saisie au plus vite.

 

Olivier Dartigolles, porte parole du PCF

Défendre l'emploi n'est pas un crime. Relaxe pour les 8 de goodyear

le 19 octobre 2016

Défendre l'emploi n'est pas un crime. Relaxe pour les 8 de goodyear

Défendre l'emploi n'est pas un crime. Relaxe pour les 8 de goodyear

► Les 8 de Goodyear sont jugés en appel après leur condamnation à de la prison ferme. Leur «crime»? Avoir retenu 30 heures, sans violence, deux dirigeants de l'entreprise qui procédaient à la fermeture du site et à 1200 suppressions d'emplois.

► Les 8 de Goodyear ne sont pas un cas isolé.  Les parlementaires Front de gauche ont déposé un projet de loi exigeant l'amnistie de tous les syndicalistes injustement condamnés. Le gouvernement doit revenir sur son refus d'examen de ce projet de loi. Et il faut de nouveaux droits aux salariés pour lutter contre les plans de licenciements et la rapacité des actionnaires.

 

Relaxe pour les Goodyear ! Message de soutien de Pierre Laurent

Les 8 de Goodyear sont jugés en appel après leur condamnation à de la prison ferme. Leur «crime»? Avoir retenu 30 heures, sans violence, deux dirigeants de l'entreprise qui procédaient à la fermeture du site et à 1200 suppressions d'emplois. La riposte d’ampleur qui s'est manifestée cette semaine à Amiens est juste et nécessaire.

Les 8 de Goodyear ne sont pas un cas isolé

Dans des centaines d'entreprises en France, des salarié-e-s sont poursuivis ou sous pression pour avoir défendu les conditions de travail ou de rémunération, agi contre des plans de licenciements, lutté pour leur outil de travail. A Air France, après la mise en examen de 16 syndicalistes, la Ministre du travail a validé le licenciement de Vincent Martinez, délégué CGT, accusé d'avoir participé à l'épisode de la "chemise arrachée", alors même que l'Inspection du Travail avait pris une décision inverse en janvier. En fait, le tribunal n'est la place d'aucun de ces salariés qui n'ont en tête que l'intérêt général. Contester les choix stratégiques patronaux, avancer d’autres propositions doit-il conduire à la perte de son emploi et devenir un délit puni de prison ? C'est une atteinte insupportable aux droits des syndicalistes de défendre les salarié-e-s et l'entreprise, en défendant par là même l’intérêt de populations et de territoires saignés par les choix de grands groupes dont la seule boussole est la rémunération des actionnaires au détriment de l’intérêt général.

Hollande continue Sarkozy

Après Nicolas Sarkozy, le mandat de François Hollande et du gouvernement socialiste qui s'achève a été marqué par une criminalisation inédite du droit syndical. Avec les nouveaux dispositifs encadrant et limitant le droit de manifester, ce gouvernement décide d'intimider les salarié-e-s. Sa politique économique et sociale est un copié/collé des exigences du Medef : il fragilise les conditions de travail et de rémunération, il culpabilise les salariés du privé et du public, d'un côté ; et de l'autre, il subventionne les entreprises pour maintenir et augmenter les dividendes. Dernier exemple en date, PSA qui s'empresse de profiter des « accords offensifs » de la loi Travail et annonce 2000 suppressions d'emploi après avoir fermé son site d'Aulnay en 2013. Cette entreprise a réalisé pourtant 1,2 milliards de bénéfices en 2015, reçu 126 millions de l’État au titre du CICE. Et l’État est actionnaire de l'entreprise ! Toujours plus de cadeaux et d'exonérations de cotisations sociales, toujours plus de casse des droits !

Criminaliser l'action syndicale, c'est criminaliser la démocratie

Les communistes sont solidaires des Goodyear et de tous les salarié-e-s victimes au quotidien de tracasseries, de chantage et de répression dans leurs entreprises. Les parlementaires Front de gauche ont déposé un projet de loi exigeant l'amnistie de tous les syndicalistes injustement condamnés. Le gouvernement refuse son examen!

Pour une nouvelle ère de la citoyenneté à l'entreprise

Le PCF demande le remboursement immédiat des sommes versées par l’État, perçues par les entreprises qui licencient. Le PCF propose de reprendre le pouvoir sur les décisions économiques et politiques, c'est-à-dire sur les choix de gestion des entreprises, sur l'argent et son utilisation. Pour cela, il s'agit de renforcer la responsabilité sociale et territoriale de l'entreprise, en accroissant les pouvoirs d'intervention des salariés et des citoyens sur les choix de gestion des employeurs. C'est à dire donner de nouveaux droits aux salariés dans l'entreprise. Deux des premières mesures de ces nouveaux droits consisteraient dans le renforcement des missions et des moyens de l'Inspection du Travail et la reconnaissance légale d'un droit de veto des organisations syndicales aux projets des employeurs et de rendre obligatoire l'étude par l'employeur des contre-projets syndicaux.

Il est urgent que se lève dans ce pays l’espoir d’une alternative aux politiques d’austérité et à la mainmise de la finance sur les choix économiques et industriels du pays, l'espoir d'une extension des droits et des libertés.
 

Le PCF condamne l'agression des policiers et soutient les rassemblements

le 10 octobre 2016

Le PCF condamne l'agression des policiers et soutient les rassemblements

Le PCF condamne avec la plus grande fermeté l’agression, samedi 8 octobre, de 2 policiers dans l’Essonne. Il Fait part aux familles des victimes et à tous leurs collègues de sa solidarité et de son soutien.

Rien ne peut justifier un acte qui a toutes les apparences d’une tentative de tuer deux fonctionnaires de Police dans l’exercice des missions qui leur étaient confiées. Le déroulement des faits semble connu. Nous demandons à ce que l’enquête soit menée le plus rapidement mais aussi le plus sérieusement possible, pour que les auteurs soient appréhendés et traduits devant la justice.

Depuis un an et demi maintenant, les forces de Police ont vu leurs missions, leurs heures de travail, leur quotidien bouleversés et rendus plus difficiles. Chacun sait que leurs heures supplémentaires, les missions de surveillance, la tension ont explosé dans les rangs des policiers et aucune décision forte n’a été prise ni proposée. Ce ne sont pas des réserves de bénévoles, des moyens dérisoires saupoudrés qui pourront permettre de relever les défis qui sont aujourd’hui devant le service public fondamental que représentent les forces de sécurité, de police, de gendarmerie dans notre pays.

Quels sont ces défis ?

Le défi de l’urgence face à la multiplication et à la forme nouvelle que prennent les actes de terrorisme dans notre monde et en particulier dans notre pays. Y faire face demande des moyens accrus au-delà des questions des nouvelles technologies. Il y a bien besoin pour cela d’un déploiement nouveau, de terrain pour être en contact direct avec les populations et détecter plus sûrement les mouvements liés à ce phénomène.

Le défi du banditisme et des trafics. Si les méthodes modernes doivent encore se développer, ils ne sont pas suffisants. Il s’agit de donner les moyens, de viser les têtes de ponts, les organisateurs et au final les bénéficiaires réels des sommes gigantesques que génèrent tous ces trafics. Il faut suivre l’argent, le trouver et pouvoir appréhender ceux qui en profitent le plus. Pour cela il faut multiplier les moyens d’investigation sur l’évasion fiscale, sur les réseaux financiers internationaux et interdire le secret bancaire sous toutes les formes qui servent en fait à dissimuler les transferts de fonds. Bien souvent les circuits qui servent aux uns pour défiscaliser servent aussi à blanchir.

Enfin, le défi du quotidien. C’est celui-là que l’agression ignoble de samedi met le plus en lumière. Les Policiers, qui faisaient leur travail, étaient là pour juguler les exactions commises régulièrement sur un point dur. Ils protégeaient les citoyens exerçant ainsi la plus noble de leur mission. L'enquête doit déterminer s'ils étaient-ils assez nombreux, s'il avaient les moyens de se protéger eux-mêmes. Notre certitude est qu’il faut augmenter de façon significative les effectifs, pour leur permettre de prendre le repos essentiel à l’exercice de leur mission, pour permettre une présence systématique, régulière qui épuise et repousse les trafiquants et délinquants, les criminels qui se fixent comme des tumeurs sur les quartiers les plus en difficulté. C’est en reprenant le terrain au quotidien que nous pourrons apaiser les tensions et pourront créer des solidarités contre ceux qui rendent la vie plus difficile.

14h - Montpellier - devant la Préfecture : Accueillir humainement et dignement les personnes et familles réfugiées.

le 07 octobre 2016

14h  - Montpellier - devant la Préfecture : Accueillir humainement et dignement les personnes et familles réfugiées.
Dans le chaos du monde, beaucoup de familles ou de personnes sont contraintes à l'exode par l'extension des foyers de guerre, la montée des fascismes et des régimes autoritaires, la misère et la faim.
 
Ces familles et ces personnes se mettent en danger et en situation de précarité extrême, pour échapper à des périls  plus grands encore dans leurs pays d'origine.
 
La simple humanité, les principes d'entraide et de solidarité, les grands principes universels proclamant les droits humains, font à chacun de nous l'obligation de tendre la main à des proches en difficulté.
 
Le droit international, les lois de la République ont institué un droit d'asile qui fait obligation d'accueillir ces réfugiés et de leur accorder hébergement et aide publique.
 
Dans notre pays , après avoir accompagné les discours de fermeture des institutions européennes et des membres de l'union européenne les plus xénophobes, il semble que le gouvernement essaie de faire bonne figure en organisant l'accueil des 12 000 hommes, femmes et enfants de Calais. Mais des élus de droite et d'extrême droite déclarant leurs communes ou leurs territoires "hors zones de solidarité", déshonorent la République. Des activistes d'extrême droite prétendent empêcher l'accueil des réfugiés et dégradent les locaux d'hébergement. Ces bandes appellent à manifester dans la rue la haine de l'autre, du réfugié, du migrant.
 
L'extrême droite pêche en eau trouble et des politiciens de droite leur emboîtent le pas: ils mélangent tout, demande d'asile, immigration, et aussi islam et terrorisme.
 
Montrons par notre présence que pour nous les valeurs de solidarité sont toujours vivaces. Exigeons de l'Etat français qu'il respecte sa légalité et demandons à nos élus locaux de faire des gestes d'accueil forts et de favoriser la générosité naturelle de nos concitoyen- nes.
 
Au delà du poids économique infime que cela représente, au delà de l'apport social, culturel, et aussi économique de ces familles expatriées:  

du drame qui frappe ces gens, c'est toute l'humanité qui est comptable !
 
La Ligue des Droits de l'Homme de Montpellier

La section de Montpellier du PCF
EELV Montpellier
Ensemble! Montpellier

 

Referendum Colombie : La construction d'une paix durable demeure à l'ordre du jour (PCF)

le 05 octobre 2016

Referendum Colombie : La construction d'une paix durable demeure à l'ordre du jour (PCF)

Les résultats du référendum sur l'accord de paix signé en septembre par le gouvernement colombien et les FARC-EP à l'issue de 4 ans de négociations à La Havane est tombé ce dimanche 2 octobre : le Non l'emporte de justesse avec 50,23% des voix tandis que le Oui atteint 49,76% et que l'abstention s'élève à près de 62,5%.

Les résultats ont révélé que les départements les plus touchés par les effets du conflit armé et social en Colombie ont ratifié très majoritairement par le Oui leur désir de paix.

La situation appelle donc à bannir tout raccourci dans l’interprétation des résultats, et à soutenir plus que jamais les efforts d'unité de tous les secteurs démocratiques et progressistes de la société colombienne, sur la base des aspirations populaires, pour la construction d'une paix durable.

Le PCF est aux côtés des forces progressistes qui luttent pour que la paix en Colombie soit indissociable de l'exigence de justice sociale.

Répondez à la grande consultation citoyenne du PCF

le 09 septembre 2016

Répondez à la grande consultation citoyenne du PCF

Que demande le Peuple ? La grande consultation citoyenne

Vous voulez être entendus

Comme nous, vous en avez assez de voir la parole populaire méprisée, ignorée, trahie.

Le Parti communiste lance une grande consultation citoyenne dans le pays pour débloquer la situation. Pour avoir un grand débat public, faire émerger les exigences populaires, ouvrir des solutions face à la crise. Un grand débat pour donner votre avis sur la France, l’Europe, le monde.

Nous avons tous un bout de la solution

Vos exigences, exprimées et rassemblées doivent former un mandat populaire à rendre incontournable. Donc, à vous d’écrire la politique, à vous la parole !

Prenez la parole !

Le questionnaire, proposé à 500 000 personnes dans le pays est un point de départ. Vos réponses seront synthétisées au niveau national et rendues publiques.

Vous pouvez télécharger le questionnaire ci-contre pour le remplir ou le faire remplir avant de nous le retourner ( par la poste à l'adresse indiquée ou scané par mail à pcf@pcf.fr )

Vous pouvez aussi remplir le questionaire directement par internet sur le site www.lagrandeconsultationcitoyenne.fr